La question est récurrente… Y-at-il des moustiques aux parenthèses imaginaires? Il est vrai qu’avec tous ces étangs et cette végétation luxuriante, la question est plutôt légitime et nous constatons que tous nos clients s’interrogent… Très vite, après leur arrivée, ils peuvent constater que la réponse est NON… Nous avons très peu de moustiques, voire quasiment pas et certainement beaucoup moins que dans la plupart des grandes villes ou certaines régions infestées.
Alors pourquoi les moustiques restent insensibles au charme des parenthèses imaginaires? La réponse prend plusieurs formes.
Tout d’abord, nos eaux ne sont pas stagnantes, elles sont traversées par un ruisseau, alimentées par des sources et caressées régulièrement par une légère brise. Tous ces éléments gênent la ponte des mamans moustiques.
Ensuite, lorsqu’une famille moustique un peu maligne réussit à s’installer, elle doit faire face à de nombreux prédateurs naturels. Les grenouilles, les coléoptères aquatiques, les roussettes, les noctules, ou encore les engoulevents (oiseaux magiques au vol très acrobatique… je ferai un article sur le sujet un jour…). Ils font le ménage nuit et jour et rendent la vie des moustiques très difficile.
Attention, je n’ai pas dit « zéro moustique ». Ils font heureusement partie du biotope et ont toute leur place dans la chaîne alimentaire mais si vous vous interrogez, retenez qu’il n’y a pas de dispositions particulières à prévoir contre les moustiques lorsque vous venez rêvasser aux parenthèses imaginaires ; à peine, un peu de citronnelle pour les plus appétissants d’entre vous, « moustiquement » parlant bien sûr… 😉