Booking.com… Beurk

Nous ne sommes pas sur booking.com… ou plutôt, nous faisons partie du club très select des acteurs touristiques qui ne sont pas sur booking.com et nous en sommes très fiers.

Nous espérons pouvoir tenir longtemps car ne pas être sur booking.com est réellement un signe de qualité. Nous constatons tous les jours que les meilleurs n’y sont pas. Les « No booking.com » ont misé sur des prestations sincères et authentiques et défendent leur indépendance avec acharnement, passion et souvent un supplément d’âme et une pointe de créativité. Les commissions qui ne sont pas versées à Booking permettent d’investir davantage et d’offrir un meilleur niveau de prestation tout en vivant correctement.

Parmi ceux qui ont fait le choix de rejoindre le géant hollandais, il y a ceux qui offrent un produit très moyen et qui trouvent par ce biais une possibilité de commercialisation. Il y a également ceux qui sont capables de proposer un produit intéressant mais qui ont parfois du mal à commercialiser quelques uns de leurs locatifs de qualité souvent moindre. Ce sont ces derniers locatifs que vous retrouvez également sur l’agence de voyages en ligne car les hébergeurs se gardent bien d’y déposer leurs meilleurs chambres ou emplacements qui se louent sans difficulté.
Pour absorber la commission entre 15% et 20% prélevée par booking.com, ils ont bien souvent augmenter leurs tarifs du même montant sans pour autant augmenter leur capacité d’investissement.
Les clients de booking.com apprécient certainement la simplicité du système pour trouver une location mais, en réalité, ils font rarement une bonne affaire.

Bref, ne pas être sur booking.com nous fait un bien fou et nous permet de continuer à être des artisans du tourisme, libre, créatif et avec plein d’envies… Nous ne sommes pas non plus sur AirBnB, Expédia ou autre « Uber agences » qui ne payent pas les impôts correspondants aux profits réalisés, qui ne signent pas les chartes de bonne conduite avec l’hôtellerie de plein air et qui nous semblent, tout simplement, pas très fréquentables.

Combien de temps allons-nous tenir ainsi face à ces géants aux finances incroyables…? C’est le petit David contre le gros Goliath… Normalement, c’est David qui gagne mais dans le monde actuel, il se pourrait bien que le gros Goliath écrase quelques David… Grâce à vous, nous sommes pour l’instant restés hors d’atteinte ; nous allons continuer à être imaginatif pour que cela continue… Merci d’être là.